Révision et corrections de : VOCABULARIO Y PRESENTACION (Antonio Villa Pellicer)
Salut, je m'apelle Antoine Villa,
je suis né il y a vingt-quatre ans dans une ville au nord de l'Espagne,
Santander. Maintenant je vis à Oviedo parce que j'étudie à l'École de Maîtres
de l'Université d'Oviedo. J'aime jouer de la guitare et surtout j'aime la
musique, le cinéma et sortir avec mes amis. La langue française me plaît parce
qu'elle est très romantique mais c'est difficile pour moi de parler bien.
Ma famille
Ma famille vit à Santander. Mon
père et mon une mère sont Pierre et Carmen.
Mon père est chauffagiste et ma mère est secrétairerie.
J'ai aussi deux frères plus petits. Ils sont Pierre et Natalia. Je suis le plus
grand des trois, je suis l'aînée.
- Vocabulaire:
Motet (Motete):
Plusieurs acceptions qui se sont
peu à peu fondues en une seule, ont été données à ce terme depuis-le moyen âge.
A l'époque des premiers essais de contrepoint (XIIe-XIIIe s.), le motet est une
petite chanson (Motetus, Motellus, petit mot, petite pièce de
poésie) en langue vulgaire et en un seul couplet, que les déchanteurs
superposent à un « ténor » latin, emprunté au répertoire liturgique et
principalement aux répons du graduel, et auquel ils associent une troisième et
quelquefois une quatrième partie harmonique, également formée de quelque
chanson vulgaire. La périodicité d'un rythme régulièrement ternaire marque les
points d'appui des diverses parties et les coïncidences des consonances
parfaites. Le motet, placé à la voix supérieure, donna bientôt son nom à la
composition tout entière.
Cantate (Cantata):
Composition à une ou plusieurs
voix, avec accompagnement, destinée à la chambre, au concert ou à l’église. Elle
succéda en Italie au madrigal.
Oratorio (Oratorio):
C'est en effet pour la réunion
pieuse des confrères de l'Oratoire, à Rome, illustrée déjà par Animuccia et Fr.
Soto qui l'avaient enrichie de leurs laudi spirituali, par G. P. da
Palestrina, qui écrivit dans le même esprit ses madrigaux spirituels, que
Emilio de Cavalieri, vers la fin du XVIe s., écrivit sa Rappresentazione
di Anima e di Corpo, qui y fut jouée en février 1600.
Mélodie (Melodía):
Succession de sons ordonnée de
manière à présenter un sens musical qui satisfasse l'oreille et l'intelligence.
En impliquant dans sa définition l'obligation d'être « agréable», l'Académie a
sanctionné l'opinion vulgaire, d'après laquelle toute mélodie, pour mériter son
nom, doit charmer les sens. C'est, en effet, par l'empire qu'exerce parfois
instantanément sur notre âme une belle mélodie, que se manifeste le pouvoir
mystérieux des sons.
Berceuse (Canción de cuna):
Chanson destinée bercer, à
endormir les enfants. C’est une des formes primitives du chant populaire, qu’on
trouve à toutes les époques et chez tous les peuples, réduite souvent à
quelques douces et monotones inflexions vocales, sur une très simple invocation
au sommeil.
Sérénade (Serenata):
Pièce instrumentale légère et
piquante. Les nuits d'été, à Venise, au XVIIe s., retentissaient de
sérénades. Il ne se passait guère de soirées que l'on n'en entendît. « Quelques
gentilshommes ou particuliers » prenaient place dans une péote, ou gondole,
avec un clavecin, un ou deux théorbes, plusieurs violons et basses de viole, et
parcouraient le grand canal jusqu'à deux heures après minuit, s'arrêtant devant
les palais de leur connaissance pour donner des sérénades ou pour répondre aux
concerts de péotes semblables ; à leur imitation, les « garçons de boutique »
et les artisans, jouant des hautbois, flageolets, flûtes douces, guitares et
chantant « des airs dolents », faisaient une musique nocturne sous les fenêtres
de leurs maîtresses.
Musique instrumentale (Música
instrumental):
Déjà au XIe s. la musique
instrumentale était pratiquée en dehors de la danse. Un peu plus tard, le roman
du Chevalier à l'Espée rapporte les concerts donnés après les festins,
où se font entendre la vièle, la flûte, la chalemie et dans lesquels la voix
est accompagnée de la lire ou de la rote. Le nombre des types d'instruments
différents est une des caractéristiques du moyen âge; les poètes se plaisaient
à en donner de longues énumérations (qu'il ne faut pas prendre à la lettre). Les
ménestrels forment les premiers orchestres; ils se divisent par groupes et de
bonne heure par groupes spécialisés. A la cour du roi Charles V (1364-1380)
fonctionnent des joueurs de « bas instruments » jouant à la fin des repas
royaux « si doulcement jouez comme la musique peut mesurer son ».
Prélude (Preludio):
Pièce de musique instrumentale
exécutée avant une œuvre, avant une représentation ou une cérémonie. Les
clavecinistes des XVIIe et XVIIIe s., Louis Couperin,
Rameau, ont écrit nombre de préludes non mesurés et qui consistent en arpèges,
dont le mouvement général et le mouvement de chaque groupe ou dessin sont
laissés à la fantaisie de l'interprète. C'était une tradition héritée du luth,
et qui se maintint aussi chez Bach. Les ritournelles d'orchestre portent le nom
de prélude dans les opéras français des XVIIe et XVIIIe
s. Les préludes composés pour l'orgue et destinés à précéder les pièces de
chant liturgique sont soumis à l'obligation de se relier à ces pièces par leur
modalité.
Fugue (Preludio):
Forme de composition à plusieurs
parties, entièrement basée sur le principe de l'imitation et dans laquelle un
thème principal du sujet, et un ou plusieurs thèmes secondaires, ou
contre-sujets, semblent fuir sans cesse de voix en voix. La fugue est issue du
canon, qui portait en effet, à l'originelle titre de fuga, et qui, par
le résultat d'une longue préparation historique à laquelle ont surtout
efficacement contribué les grands organistes du XVIIe s., à été transformé et
organisé en un style plus riche, dont l'austérité même est un élément de beauté
et qui comporte, sous la rigueur d'un plan général à peu près immuable, des
possibilités d'invention illimitées.
Suite (Suite):
Série d'objets se succédant dans
un certain ordre. En musique, ce nom désigne une succession de morceaux, tous
du même ton, ordinairement apparentés aux airs ou aux mouvements de danses, qui
fut en usage principalement aux XVIe, XVIIe et XVIIIe
s. Cette ordonnance fut dictée par les coutumes de la danse (et non adoptée
pour des raisons musicales), qui faisaient succéder aux XVe et XVIe
s., à une danse marchée, d'allure modérée; en mesure binaire, une danse sautée,
un peu plus rapide, en mesure ternaire; en Italie,le passe-mezzo suivi
du saltarello ; en France, la pavane suivie de sa gaillarde, les 2
morceaux dans le même ton, et souvent sur le même thème ou un thème analogue. Le
4e livre de Tablature de luth (anonyme), publié par Petrucci (1508),
ajoute à la pavana suivie du saltarello un 3e
morceau appelé Piva.
_________________________________________________________________
RÉVISION ET CORRECTIONS
Bonjour, Antonio, je viens de lire et réviser
tout ce que tu as posté sur le blog. C’est très bien. J’ai trouvé quelques
petites fautes de frappe que j’ai corrigées. En ce qui concerne le Vocabulaire
de Musique, tes définitions étaient parfois un peu trop longues. Donc je me
suis permis de « couper » la longueur de quelques-unes. Et aussi
parfois j’ai changé celle dont la définition n’était pas très claire.
Je te suggère de lire le texte que je te
propose. Et si tu es d’accord pour les corrections, je t’invite à les poster à
nouveau, avec les texte corrigé.
Merci
Ton Prof
Juan
______________________________________________________________________
Salut,
je m'appelle Antoine Villa, je suis né il y a vingt-quatre ans dans une ville
au nord de l'Espagne, Santander. Maintenant je vis à Oviedo parce que j'étudie
à l'École Normale d’Instituteurs de l'Université d'Oviedo. J'aime jouer de la
guitare et surtout j'aime la musique, le cinéma et sortir avec mes amis. La
langue française me plaît parce qu'elle est très romantique mais c'est
difficile pour moi de parler bien.
Ma
famille
Ma
famille vit à Santander. Mon père et mon une mère sont Pierre et Carmen. Mon
père est chauffagiste et ma mère est secrétairerie. J'ai aussi deux frères plus
petits. Ils sont Pierre et Natalia. Je suis le plus grand des trois, je suis
l'aînée.
Vocabulaire:
Motet
(Motete): Petite chanson en langue vulgaire et en un seul couplet, que les
déchanteurs superposent à un « ténor » latin, emprunté au répertoire liturgique
et principalement aux répons du graduel
Cantate
(Cantata): Composition à une ou plusieurs voix, avec accompagnement, destinée à
la chambre, au concert ou à l’église. Elle succéda en Italie au madrigal.
Oratorio
(Oratorio): œuvre lyrique, formellement assez proche de l’opéra : il est en principe destiné à une exécution
dans l’enceinte d’une église, pour une occasion particulière, ou en concert. Son
sujet est le plus souvent religieux : épisode tiré de la Bible, de la vie de
Jésus, plus occasionnellement de la vie d’un(e) saint(e).
Mélodie
(Melodía): Succession de sons ordonnée de manière à présenter un sens musical
qui satisfasse l'oreille et l'intelligence.
Berceuse
(Canción de cuna): Chanson destinée bercer, à endormir les enfants. C’est une
des formes primitives du chant populaire, qu’on trouve à toutes les époques et
chez tous les peuples, réduite souvent à quelques douces et monotones inflexions
vocales, sur une très simple invocation au sommeil.
Sérénade
(Serenata): dans son sens le plus commun, une composition ou une représentation
musicale en l'honneur de quelqu'un.
Musique
instrumentale (Música instrumental): toute musique
exclusivement destinée à des instruments. Ce concept s'oppose donc à celui de musique vocale, ceci à cause du traitement particulier habituellement réservé à la voix.
Prélude
(Preludio): Pièce de musique instrumentale exécutée avant une œuvre, avant une
représentation ou une cérémonie.
Fugue
(Preludio): Forme de composition à plusieurs parties, entièrement basée sur le
principe de l'imitation et dans laquelle un thème principal du sujet, et un ou
plusieurs thèmes secondaires, ou contre-sujets, semblent fuir sans cesse de
voix en voix.
Suite
(Suite): En musique, ce nom désigne une succession de morceaux, tous du même
ton, ordinairement apparentés aux airs ou aux mouvements de danses.