"Ma Famille" texte posté para Jose

  MON FAMILLE

Je m'apelle Jose. J' ai 40 ans.

  Je vis à un très petit village qui est éloigné 15 Km de Navia, une localité de l'occident asturien. j'ai vécu toutes ces années, bien que j'aie étudié dehors ou en travaillant la majorité du temps. J'ai vécu heureux avec l'environnement de mes grands-pères, jusqu'à ce qu'ils(elles) je soient morts. Une ère comme heureuse je, à son côté!

Je les rappelle avec nostalgie, spécialement à ma grand-mère divine que je lui dois la vie. Cela fait déjà trois ans il(elle) me manque, et chaque jour qu'il(elle) passe me fait plus et plus fort son absence, chaque fois j'ai besoin plus d'elle. Combien donnerait pour la prendre dans les bras, pour lui donner des baisers, pour la soigner comme j'ai fait ses dernières années abattue dans un lit, mais nous étions heureux. Quels temps ceux-là(ceux)!

  Ma grand-mère s'appelait Rosalía, et mon grand-père Manuel. D'abord mon grand-père est mort et après ma grand-mère, mais avant que ceux-ci deux, ils(elles) ont eu le malheur de voir mourir à mon père, son fils. Ainsi c'est la vie. Maintenant je vis avec ma mère. Nous ne nous comprenons pas très bien, mais je la veux comme la mère qui est et je la soignerai quand arrivera le moment de le faire. Ma maman se nomme Nelida, mon papa s'appelait José Michel, la mort l'a surpris d'une forme tragique en coupant des arbres dans un bois, en travaillant par le pain de chaque jour.

Je ne veux pas être tragique, donner une peine. La vie est belle, la vie est dure, une mission nous venons à nous acquitter à cette planète . Suivons ici jusqu'à ce que cette mission culmine et elle me se permette de transmettre la sensibilité musicale aux enfants dans l'école et de jouir de semer une éducation dans des valeurs, une culture, un art et tout l'amour qui peut leur donner parce que je crois que si je sème un maître je sèmerai ce que ma grand-mère a semé dans moi. Un salut à tous.

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Bonjour, Jose. Je viens de lire et réviser ton beau texte où tu nous racontes un moment de ta vie. C'est très bien, bien que le texte raconte une histoire triste pour toi. J'ai corrigé les faute que j'y ai trouvés, et je te les signale en caractères gras ( en negrita). Comme ça tu pourras comparer ton texte avec le texte corrigé que je te propose. Je te suggère de le lire, de les comparer, et si tu comprends bien toutes les corrections, tu pourras après POSTER À NOUVEAU ton MESSAGE, mais avec le texte corrigé.
Ah, je me rappelle que tu m'as dit que tu voudrais bien l'enregistrer avec ta voix. J'ai pensé que tu peux le faire directement avec ton ordinateur, car Windows dispose d'un enregistreur de sons.

Ton Prof
Juan
;-)))

P.S. : J'ai l'impression que tu t'es servi d'un traducteur automatique. Est-ce vrai? Si c'est comme ça, fais attention, parfois la traduction donne des résultats très bizarres ;-)))

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MA FAMILLE
 

Je m'apelle Jose. J’ai 40 ans.

Je vis dans un très petit village qui se trouve à 15 Km de Navia, une ville de l'occident asturien. J’y ai vécu tout le temps, bien que j'aie étudié dehors ou  que j’aie quitté le village pour travailler. J'ai vécu heureux en compagnie de mes grands-parents, jusqu'à ce qu'ils  sont morts.  Un moment très heureux à côté d’eux !!

Je les rappelle avec nostalgie, spécialement  ma grand-mère divine à qui je dois la vie. Cela fait déjà trois ans qu’elle nous a quittés, et chaque jour son absence est très dure pour moi. J’ai encore très besoin d'elle. Comme j’aimerais  la prendre entre mes bras, pour lui donner des baisers, pour la soigner comme j'ai fait ses dernières années abattues dans un lit, mais nous étions heureux. Quels temps !!!

Ma grand-mère s'appelait Rosalía, et mon grand-père Manuel. D'abord mon grand-père est mort et après ma grand-mère, mais avant eux, ils  ont eu le malheur de voir mourir  mon père, son fils. Voilà, la vie c’est comme ça. Maintenant je vis avec ma mère. Nous ne nous comprenons pas très bien, mais je la veux comme la mère qui est et je la soignerai quand il arrivera le moment de le faire. Ma maman s’appelle Nelida, mon papa s'appelait José Michel, la mort l'a surpris d'une forme tragique en coupant des arbres dans un bois, en travaillant pour se gagner le pain de chaque jour.

Je ne veux pas être tragique, faire de la peine. La vie est belle, la vie est dure, une mission nous venons à nous acquitter à cette planète. Et nous sommes  ici jusqu'à ce que cette mission culmine et elle me  permette de transmettre la sensibilité musicale aux enfants dans l'école et de jouir de semer une éducation dans des valeurs, une culture, un art et tout l'amour que je pourrai leur donner parce que je crois que si je suis un maître je sèmerai ce que ma grand-mère a semé en moi. Me salutations à tous !!